Enquête publique – Non aux éoliennes près du site d’Alésia

10 Commentaires

1. NON a l’éolien industriel et à la destruction de nos paysages de manière irréversible. Ces projets éoliens ne servent qu’à mettre de l’argent public dans les poches des opérateurs éoliens et ne resoudront pas le problème de l’énergie. Combien d’éoliennes sont installées en France ? Quel est le % d’énergie produite ? Des lois sont mises en place en dehors de tout respect pour faciliter la tache des opérateurs. La mise en place de ces éoliennes est d’une grande violence pour la population . NON NON NON et NON

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   • C pas irréversible contrairement aux centrales nucléaires ont n’a pas la capacité de les démonter nous à Billy ont va en avoir 8 qui vont produire de l’électricité pour 18000 foyer au 19 eme siècle beaucoup de personnes étaient contre la Tour Eiffel et maintenant personne voudrait la démolir alors qu’elle ne produit pas d’electricite

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     • C pas irréversible !
       – faux ! le démantèlement ne considère pas les platines béton qui fondent le socle des éoliennes. 2000 m3 par machine
       – est ce un argument ? se faire tromper non plus n’est pas irréversible ! dites le à celui qui en a souffert….
       – avez vous une idée du patrimoine qui nous entoure ? vous ne devez plus l’apprécier. Ce petit texte vous le rappelle http://fr.friends-against-wind.org/realities/bonheur-dans-le-pre
       – irréversible ? quand bien même cela ne serait que partiellement irréversible est ce une caractéristique qui à elle seule vaudrait validation ? NON. interrogeons nous sur les enjeux portés par l’éolien. le grand perdant c’est le CLIMAT , le grand gagnant la FINANCE internationale
       – L’écologie ? Non car la production d’énergie éolienne signifie de la production de CO2 en masse. Mise en service de centrale charbon pour combler intermittence
       – le paysage ? non http://fr.friends-against-wind.org/realities/bonheur-dans-le-pre. Mais ceci ne serai que des balivernes, n’est ce pas ?
       – la politique ? Oui, c’est un super faire valoir que de rouler dans le sens du vent, du pouvoir en place. Le vent a ceci de bien qu’il fait aussi tourner les girouettes. Et dans ce domaine, elles sont nombreuses, tout comme les moutons
       – l’industriel promoteur ? Oui, après des années de bagarre et de mensonges par omission, ils vendent leur projet clé en main, une fois les autorisations et les recours purgés.15 Millions pour un projet de 6 éoliennes prets à construire !
       – la finance ? Oui, c’est le grand gagnant ! loin du terrain de jeu, protégé dans une tour climatisée, doté d’un contrat béton, celui d’EDF cosigné par l’état qui garanti une valeur de rachat sur 20 ans…. de l’or en barre !
       – les communes ? le beau jeu que de croire s’enrichir quand après avoir cédé aux sirènes, le constat de l’enjeu se met à jour. quelle responsabilité à terme face au démantellement ?
       – les particuliers qui louent leurs terres ? l’appât du gain fonctionne à fond. Acheter les gens a toujours fonctionner. Les enchères montent. de 5000, cela passe à 20 000€ par éolienne. A ce prix pas de morale, pas de vision à long terme, pas de responsabilité sociale,….
       Mais entre autres perdant, il y a le climat ! alors même qu’il engraissait du premier enjeu, c’est lui le grand perdant ! ces machines produisent concomitamment de grandes quantités de CO2

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       • – Le démantèlement est entièrement à la charge de l’entreprise et comprend le démantèlement des fondations, la récupération du béton et sa valorisation. La loi oblige à retirer le béton sur une profondeur de 1 mètre minimum (2m en forêt), si l’intégralité de la fondation n’est pas excavée, le béton sera concassé pour laisser s’infiltrer l’eau. Par ailleurs les fondations des éoliennes comportent moins de 500m3 de béton (et non 2000) On peut ajouter que le beton est inerte et ne pollue pas les sols, la fondation peut aussi être retirée complètement, mais c’est une fausse solution écologique car cela nécessite beaucoup de transport émetteur de CO2, le meilleur choix reste so uvent de laisser sur place la fondation concassée en « graviers » et recouvrir de minimum 1m de terre végétale.
         -Paysage et bien-être : les éoliennes sont majoritairement situées sur des champs de culture intensive (vrai, mais pas toujours une réalité, ça peut être en prairie ou foret) qui n’ont rien à voir avec un paysage naturel qui apaiserait. De plus elles sont placées à distance des lieux d’habitation. Les éoliennes ne sont pas implantables dans des paysages dits « naturels », il ne faut pas confondre avec les paysages ruraux façonnés par l’homme depuis de générations. Un champ de mais ou une prairie ne sont pas « naturels », ce sont des cultures.
         – Climat : en 2018, en France, la production énergie par les éoliennes a augmentée de 15.3% par rapport à 2017 tandis que la production d’énergie par les centrales à charbon a diminué de 40.3% ce qui montre bien que l’installation d’éoliennes n’implique pas la réouverture de centrale charbon. https://bilan-electrique-2018.rte-france.com/
         -La gestion du réseau et de l’offre et la demande est bien plus complexe que pas de vent = centrale pilotable à démarrer.
         – Comme toute autre source d’énergie, les éoliennes sont source d’émissions de CO2 lors de leur construction et installation. L’analyse du cycle de vie de la production d’électricité éolienne réalisé par l’Ademe, estime à 12,72g de CO2 par kWh pour l’éolien contre 16g de CO2 par kWh pour le nucléaire. Ce qui est considéré comme négligeable et peut être considéré comme non/peu émetteur de CO2 (en tout cas on ne peut pas être à 0)
         – Finance : les retombées économiques ne sont pas réservées à la finance internationale puisque de plus en plus de projets sont financés par les habitants et/ou par les collectivités qui s’approprient les projets et font vivre leur épargne plutôt que de le laisser dormir sur un livret L’investissement dans les entreprises est malheureusement peu réalisé encore en France.
         – Les communes n’ont rien à débourser pour le démantèlement qui est à la charge de l’entreprise. Elles reçoivent, en revanche, la Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises, L’Imposition Forfaitaire sur les Entreprises de Réseaux et la Taxe foncière. Comme toute entreprise s’installant sur un territoire. Ou est le mal à percevoir des impôts quand une entreprise s’installe ?

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         • Je vous conseille de lire le livre de Fabien Bouglé, très documenté et qui contredit vos affirmations, dignes d’un représentant de la FEE (mensonges par omission)
           – Quelle entreprise sera encore là ^pour le démantèlement. Le propriétaire foncier, s’agissant d’un bail emphytéotique, sera responsable et les 50 000 € de dépôt de caution sont très nettement insuffisants, meme si on inclus les recycalges (liorsque c’est poissible). Par a

         • Je vous conseille de lire le livre de Fabien Bouglé, très documenté et qui contredit vos affirmations, dignes d’un représentant de la FEE (mensonges par omission)
           – Quelle entreprise sera encore là ^pour le démantèlement. Le propriétaire foncier, s’agissant d’un bail emphytéotique, sera responsable et les 50 000 € de dépôt de caution sont très nettement insuffisants, meme si on inclus les recycalges (liorsque c’est poissible). Par a

         • Je vous conseille de lire le livre de Fabien BOUGLE, Éoliennes La face noire de la transition écologique, très documenté. Vos propos me laissent croire que vous êtes un représentant de la FEE (éolienne) avec toutes les imprécisions et tous les mensonges par omission de leur langage.
           – Qui fera le démantèlement. Les sites industriels d’aérogénérateurs se vendent régulièrement et finalement ce sera le propriétaire foncier qui sera responsable du démantèlement. Le dépôts de garantie de 50 000 €, a été établi à une époque où les aérogénérateurs faisaient environ 100 m en bout de palles, ce qui n’est plus le cas. Même si on prend en compte le recyclage (qui n’est que partiel), le compte n’y est pas, sans parler du bilan carbone qui va être déplorable. En outre du béton « broyé », s’il l’est, car les promoteurs parlent plutôt de décaper la hauteur réglementaire, altère le sol.
           Pour les quantité de béton il faut réactualiser vos données avec la taille actuelles des éoliennes, de la nature des sols. Votre affirmation est fausse et certains promoteurs le reconnaissent.
           – Sur les paysages, je vous conseille de lire le livre d’Antoine Waechter- Le scandale éolien. la distance des lieux d’habitation est de 500 m pour des éoliennes qui faisant 100 m. Maintenant elles font jusqu’à 240 m. En Allemagne ils viennent de porter la distance à au moins 1000 m et dans divers pays il s’agit de 10 fois la hauteur en bout de palles.
           Par ailleurs force est de constater que maintenant les éoliennes ne sont pas mises que dans des champs de maïs (en pas oublier les rotations de culture, même pour le maïs). Ce n’est pas que la culture qui fait le paysage mais l’ensemble du contexte. A vous croire il n’y aurait pas de projet en zone dite « naturelle » selon vous, il faut que vous vous renseigniez mieux. C’est faux.
           – l’impact CO2 réalisé par l’ADEME est très incomplet et orienté car il ne compte pas tous les éléments à prendre en compte, les effets rebonds, … et l’impact environnemental de l’extraction des matériaux, y compris le sable pour le béton (cela va devenir une ressource rare, il y a eu des articles que l’on peut trouver sur internet, par exemple). Des études faites par des scientifiques, non inféodés à quelque lobby que ce soit, donnent ds résultats très différents.
           Pour les centrales à charbon (ou encore pire à lignite) c’est vrai en Allemagne. En France il s’agit essentiellment de centrales à gaz.
           – En ce qui concerne la gestion des aléas de la production éolienne, je vous conseille de prendre contact avec des gens compétents. C’est effectivement un problème complexe, mais les exemples de zéro électricité dans certains pays (Australie, par exemple, mais pas seulement) montrent que ceci doit être pris en compte. Si vous prenez les chiffres de RTE, on constate que la production de CO2 pour la production électrique n’a pas baissé, malgré le développement du nombre d’éoliennes, la diminution du nombre de centrales à charbon … Pourquoi ?
           – pour les retombées économiques, lorsqu’il y a financement par les habitants, ce serait logique qu’ils soeint intéressé aux résuktats effectifs, et non pas qu’ils touchent la part du pauvre. Il ne s’agit pas de financement participatif mais de prêt fait à un promoteur, ce n’est pas pareil. En outre cet argent n’est qu’un transfert entre les subventions reçues par le promoteur (différence entre le tarif garanti de rachat du kWh et le cours moyen du prix du kWh). Pourquoi en Allemagne, maintenant que les subventions ont été supprimée, la filière éolienne est en difficulté ? Car elle n’existe que par les subventions du prix de rachat, que nous payons.
           Par ailleurs, compte-tenu de procès en cours par exemple, il est évident que les promoteurs éoliens ne respectant pas toujours leurs engagements de départ …
           Il faut aussi constater qu’il n’y a plus de filière de production éolienne en France. Pourquoi ?
           Quelle est la part de sociétés étrangères dans les installations d’éoliennes ? C’est impressionnant, sans parler des sociétés ibscrites dans des pays plus laxistes, dont on ne connaît pas l’origine des fonds …
           – IL est normal que effectivement que les promoteurs éoliens paient les taxes normales.La ComCom, la commune, le département ne récupèrent ensemble qu’environ 10 % des subventions accordées, mieux vaudrait leur donner de l’argent tout de suite et donner le reste pour améliorer l’habitat, source de CO2, la recherche, pour trouver une vraie réponse à un problème mal posé.

2. Quel honte je vais vomir

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   • Non mais arrêtez à st Seine l’abbaye ont a fait tout un pataquès avant la construction d’éoliennes et filialement sa na rien changé à la vie des riverains mais en plus il y a plus de touristes 😋😋😋😋

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     • Notre objectif est de faire tout plein de pataquès tant que ces projets ineptes feront florés. Qui profite de ces machines ?
       – L’écologie ? Non car la production d’énergie éolienne signifie de la production de CO2 en masse. Mise en service de centrale charbon pour combler intermittence
       – le paysage ? non http://fr.friends-against-wind.org/realities/bonheur-dans-le-pre. Mais ceci ne serai que des balivernes, n’est ce pas ?
       – la politique ? Oui, c’est un super faire valoir que de rouler dans le sens du vent, du pouvoir en place. Le vent a ceci de bien qu’il fait aussi tourner les girouettes. Et dans ce domaine, elles sont nombreuses, tout comme les moutons
       – l’industriel promoteur ? Oui, après des années de bagarre et de mensonges par omission, ils vendent leur projet clé en main, une fois les autorisations et les recours purgés.15 Millions pour un projet de 6 éoliennes prêt à construire !
       – la finance ? Oui, c’est le grand gagnant ! loin du terrain de jeu, protégé dans une tour climatisée, doté d’un contrat béton, celui d’EDF cosigné par l’état qui garantit une valeur de rachat sur 20 ans…. de l’or en barre !
       – les communes ? le beau jeu que de croire s’enrichir quand après avoir cédé aux sirènes, le constat de l’enjeu se met à jour. quelle responsabilité à terme face au démantèlement ?
       – les particuliers qui louent leurs terres ? l’appât du gain fonctionne à fond. Acheter les gens a toujours fonctionner. Les enchères montent. de 5000, cela passe à 20 000€ par éolienne. A ce prix pas de morale, pas de vision à long terme, pas de responsabilité sociale,….

       Alors oui, nous faisons pataquès sur pataquès. Rejoignez nous, à moins que vous fassiez partie de ceux qui profitent de cette manne. Mais entre autres perdant, il y a le climat ! alors même qu’il s’agissait du premier enjeu, c’est lui le grand perdant ! ces machines produisent concomitamment de grandes quantités de CO2

       Choisissez votre camp ! en tout cas renseignez vous

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