Après les multiples courriers adressés par le Mouvement de la Ruralité au Président de la République et aux ministres
concernés par l’alerte sanitaire, restés sans réponse à ce jour, après avoir alerté des effets des éoliennes, des champs
électromagnétiques, des infrasons, des contaminations aux terres rares et de l’ensemble des problématiques provoquant des
nuisances sanitaires graves avec un risque de danger imminent pour la santé humaine et animale doublée d’une atteinte grave
à l’environnement, après avoir dénoncé la situation dramatique d’hommes et de femmes, tant sur leur santé que sur celle de
leurs élevages, le Mouvement de la Ruralité, par son président Eddie Puyjalon, accompagnant madame Céline Bouvet,
exploitante proche du parc des Quatre Seigneurs sur la commune de Nozay, vient d’engager une procédure judiciaire devant
la Cour de justice de la République.
Ainsi, par l’action de son avocat, Maître Fabrice Di Vizio, LMR vient de porter plainte contre le Premier ministre Jean
Castex, le ministre de la Santé Olivier Véran, ainsi que les deux dernières ministres de la Transition écologique, Barbara
Pompili et Élisabeth Borne ; plainte pour motif d’« administration de substances nuisibles » (article 222-15 du Code pénal)
de nature visuelle et sonore et, à titre subsidiaire pour « abstention volontaire de combattre un sinistre » (article 223-7 du
Code pénal).
L’objectif pour LMR est de faire ouvrir une enquête pour savoir si l’accélération du déploiement du parc éolien en France
aurait dû perdurer durant toutes ces années malgré les alertes de citoyens malades, de lourdes mortalités animales, la présence
de cancers pédiatriques dans les zones concernées avec des expertises indépendantes induisant un risque grave et imminent
notamment le dossier scientifique du laboratoire ToxSeek. Action juridique d’autant plus importante que malgré toutes ces
alertes, les multiples confinements pour raison sanitaire sont venus emprisonner les hommes et les femmes dans leur
souffrance à domicile sans pouvoir échapper aux nuisances induites par les éoliennes.
Autre motif d’inquiétude, le gouvernement prévoyant malgré les alertes sanitaires de doubler le nombre d’éoliennes d’ici
2028, faisant fi des lanceurs d’alertes. Pour couronner le tout, le dernier rapport de la commission d’enquête CGEDD
(ministère de l’Écologie) et CGAAER (ministère de l’Agriculture) sur le parc des Quatre Seigneurs se serait perdu dans les
méandres des ministères ! Plus largement, le deuxième objectif est bien celui d’inclure les problématiques de santé publique.
Par ailleurs, en plus de la plainte à la CJR, une série de plaintes, estimée à plus d’une centaine, sera déposée contre X dans les
semaines à venir dans différents tribunaux de toute la France.
Face à la gravité du danger, son envergure nationale et les manquements à agir de l’État, le Mouvement de la Ruralité agira
par des actions pénales engagées par son avocat en droit de la santé publique, maître Fabrice Di Vizio.
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